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C'est tyran c'est étirable c'est terrible et pourtant :ça tire à bout portantCet été, cette héroïne, cet hétéroclite au clitoris, cet héros claque : c'est du vent météoEn peine, au pénis, entre les cuisses, au péril de la vis du lit, c'est vicieux : lapis-lazuliteCes viscères râlent, ces sévices cérébrales, c'est normal : ça branle sa sève et ça sait toutLa peau de l'apogée, pue la population, cette peau pue : la pulvérisation mueTout est toqué, c'est d'accord, toquer n'est pas jouer: c'est du stock en cloqueLe bateau à rompu, les amarres se marrent et se barrent : c'est la bourrasqueC'est difficile de déplacer un grain de sable sans faire tomber la plageIl perd la mémoire tellement il n'en a plus connaissance : Il est dans un ravin d’absenceIl ne sait pas d'où il tombe, il porte sa pierre depuis des siècles : ça pince du sapiens, il plombeUne phrase creuse vaut toutes les montagnes désarticulées : il continue de laisser béton coulerIl n'y a pas de fente entre nuit et jour juste des souffrances : cet antre est entre nous jus qu' à l'anusUne note en bas de page, un zéro court, faute de frappe : il s'est fait battre par sa grand-mèreIl sanglote, fait semblant, sans gland : il traîne l' étendard vivant qui pleut sur son bas -ventreElle mouille, elle s'inonde, elle abonde , quelle nouille: j'abandonneLes feuilles tiennent l'arbre à la terre, les racines : ses glandsElle est prise, je la prends, les deux doigts dedans :je la mépriseMéprise, c'est raté dans le watt à la ouate, : je fais volte-faceElle n'ose pas, sortir de là, c'est closed, elle ne fait que: elle des- faits-que
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